Crise sanitaire : les Français continuent d’emprunter

Les Français et le crédit à la consommation
Cofidis a réalisé une étude pour mieux comprendre comment les Français se comportent face au crédit personnel, notamment en cette période où la Covid-19 vient tout chambouler. Il apparaît qu’un Français sur 4 rembourse actuellement un tel crédit. En parallèle, ¼ des Français n’a jamais souscrit de prêt personnel.
48 % des personnes interrogées envisagent un crédit sous 12 mois. Et ce prêt peut prendre plusieurs formes :
- 31 % envisagent un crédit affecté (pour acheter un produit bien précis à l’image d’une voiture).
- 25 % comptent opter pour le paiement en plusieurs fois.
- 17 % souhaitent souscrire un prêt personnel non affecté.
- 12 % vont opter pour la LLD ou la LOA pour leur futur véhicule.
L’emprunt moyen atteint 10.000 € sur 28 mois.
Prêt personnel et Covid-19
La situation que nous vivons actuellement modifie naturellement notre manière d’aborder l’avenir. Aussi, si vous êtes encore nombreux à envisager de donner vie à vos projets, nombre d’entre vous anticipent d’éventuelles difficultés et considèrent que l’épargne est essentielle.
Près d’un Français sur deux envisage de souscrire un crédit pour ne pas toucher à son épargne en raison d’une confiance réduite en l’avenir. Tandis que 4 Français sur 10 ont été impactés financièrement par la crise sanitaire, 1 sur 5 prévoit d’emprunter pour faire face à une baisse du pouvoir d’achat. La souplesse est également un argument pour les emprunteurs. Aussi, 25 % des personnes interrogées prévoient de payer un achat en 3 ou 4 fois.
Enfin, le crédit en ligne a le vent en poupe puisque 34 % des Français envisagent de souscrire un prêt à distance, ce qui représente une augmentation de 5 points depuis 2018.
Un crédit oui, mais pas n’importe lequel ?
Pour la souscription d’un crédit personnel, n’oubliez pas que les conditions varient selon l’organisme prêteur. Ne souscrivez pas auprès du premier venu et prenez le temps de comparer pour obtenir le taux le plus attractif afin de réduire le coût global du crédit.